Vice-président, Vice-président délégué.

Rappelons (partiellement) l’ordre du jour du Conseil Scientifique du 2 juillet :

  • Informations
  • Désignation d’un vice-président du Conseil Scientifique
  • Désignation d’un(e) vice-président(e) délégué(e)

Première observation : le prochain vice-président du Conseil Scientifique sera de façon sûre un homme tandis que le vice-président délégué sera un homme ou une femme.

Deuxième observation : il faudrait être sûr que le poste de vice-président soit réellement libéré ? (là il faut être connaisseur)

Passons au déroulement du CS, ouvert par le président. Il commence très fort en retirant de l’orde du jour la désignation d’un vice-président du Conseil Scientifique. (là encore les connaisseurs apprécieront, c’est la méthode actuelle de management, humaine et toute en délicatesse)

Passons aux vices-présidences déléguées. C’était dans le programme du président (d’université). Un peu plus d’un an après son élection, les vice-présidents délégués arrivent. Il est vrai que chargé de mission ne fait pas assez classe quand on représente l’université à l’extérieur et il faut prendre exemple sur les nombreuses universités qui ont adopté ce dispositif. VP-délégué c’est l’avenir.

Comme prévu, c’est bien une vice-présidente déléguée, dédiée à l’entreprise et partenariat (ou quelque chose du genre, en relation avec les entreprises, la valorisation).

Nous apprenons qu’il y aura aussi

  • VP délégué, internationale et un chargé de mission recherche à l’international (CA)
  • VP délégué, formation continue et par alternance et insertion professionnelle (CEVU)
  • VP numérique (qui reste à trouver au moment du CS)

Question émolument, un VP délégué c’est 84h de décharge et 3500 euros (on peut convertir l’argent en décharge et réciproquement).

Par ailleurs, comme l’équipe du président n’est toujours pas complète un an après, nous aurons la chance d’avoir prochainement

VP stratégie et suivi des politiques d’établissement, communication, culture (sic)

Soyons fair-play et avouons que ce n’est pas une armée mexicaine comme à la CREA (une petite recherche sur Internet vous donnera une idée). Mais tout de même, quand en parallèle tant de mesures d’économie nous sont demandées, quand tant de maquettes se voient menacées de découpage petit à petit, quand tant de travail se voit balayé injustement par le président, quand la décharge des PRAG ayant une activité de recherche (thèse par exemple) passe de 192h à 128h par décision unilatérale du président, etc, il y a de quoi s’interroger.